| Titre : | Les Enfants de Blanche | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Régine Deforges (1935-....) ; Pierre Benoit (1886-1962), Editeur scientifique ; Michael Bar-Zohar (1938-....), Illustrateur | | Editeur : | Fayard | | Année de publication : | 1982 | | Importance : | 256 p. | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-213-59362-3 | | Prix : | 16,8 eur | | Note générale : | Je reste encore surprise d'avoir écrit un tel livre où il est question d'une famille qu'adolescente je détestais avec cette passion qu'apporte en toute chose l'être humain au seuil de l'âge adulte... " Et puis, le temps a passé... Au fil des années, je les ai mieux écoutés. J'ai vu ce qu'il y avait de dignité dans la simplicité de leur vie, de désirs enfouis sous une apparente dureté, de peines sobrement endurées, d'amours bafouées ou méconnues, de courage face à l'adversité. J'ai eu honte de ma sottise passée. La vie dans une petite ville de province au début du siècle n'était pas facile pour une famille nombreuse. Grâce à leur amour, Léon et Blanche parvinrent à surmonter les épreuves et les difficultés. C'est l'histoire de cet amour, dont je suis sortie, que j'ai voulu tirer de l'oubli : celle d'une époque où le temps se déroulait lentement au fil des heures marquées par le carillon des clochers. | | En ligne : | http://www.amazon.fr/gp/redirect.html%3FASIN=2213593620%26tag=ws%26lcode=xm2%26c [...] |
Les Enfants de Blanche [texte imprimé] / Régine Deforges (1935-....) ; Pierre Benoit (1886-1962), Editeur scientifique ; Michael Bar-Zohar (1938-....), Illustrateur . - [S.l.] : Fayard, 1982 . - 256 p. ISBN : 978-2-213-59362-3 : 16,8 eur Je reste encore surprise d'avoir écrit un tel livre où il est question d'une famille qu'adolescente je détestais avec cette passion qu'apporte en toute chose l'être humain au seuil de l'âge adulte... " Et puis, le temps a passé... Au fil des années, je les ai mieux écoutés. J'ai vu ce qu'il y avait de dignité dans la simplicité de leur vie, de désirs enfouis sous une apparente dureté, de peines sobrement endurées, d'amours bafouées ou méconnues, de courage face à l'adversité. J'ai eu honte de ma sottise passée. La vie dans une petite ville de province au début du siècle n'était pas facile pour une famille nombreuse. Grâce à leur amour, Léon et Blanche parvinrent à surmonter les épreuves et les difficultés. C'est l'histoire de cet amour, dont je suis sortie, que j'ai voulu tirer de l'oubli : celle d'une époque où le temps se déroulait lentement au fil des heures marquées par le carillon des clochers. |  |
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