| Titre de série : | Les moissons délaissées., [1] | | Titre : | Les moissons délaissées : roman | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Jean-Guy Soumy (1952-....), Auteur | | Editeur : | Paris : R. Laffont | | Année de publication : | 1992 | | Importance : | 385 p. | | Présentation : | couv. ill. en coul. | | Format : | 24 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-221-07431-2 | | Prix : | 125 F | | Note générale : | Bibliogr. 2 p.
| | Langues : | Français (fre) | | Note de contenu : | Mars 1869. Dans le petit village des Couteilles, au sud de guéret, le jeune François Ribière, pour la première fois s'apprête à grossir la troupe de ceux qui partent "limousiner", entendons par là qui s'en vont, à pied, rejoindre Paris afin de travailler, comme apprentis puis comme maçons, dans les gigantesques chantiers que le second Empire y a ouverts. Car le bâtiment constritue une activité traditionnelles pour les gens de ce rude pays de dreuse: quand vient la belle saison, la pauvreté les contraint à délaisser fermes et moissons, qu'ils retrouveront aux approches de l'hiver.
Cet exil, déjà cruel en son principe, est fort dur à vivre, on ne trouve pas toujours à louer ses bras, le travail sur les échafaudages est dangereux, la compétition sévère. Et les voyages ne sont pas sûrs: ainsi, à son retour. |
Les moissons délaissées., [1]. Les moissons délaissées : roman [texte imprimé] / Jean-Guy Soumy (1952-....), Auteur . - Paris (Paris) : R. Laffont, 1992 . - 385 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-221-07431-2 : 125 F Bibliogr. 2 p.
Langues : Français ( fre) | Note de contenu : | Mars 1869. Dans le petit village des Couteilles, au sud de guéret, le jeune François Ribière, pour la première fois s'apprête à grossir la troupe de ceux qui partent "limousiner", entendons par là qui s'en vont, à pied, rejoindre Paris afin de travailler, comme apprentis puis comme maçons, dans les gigantesques chantiers que le second Empire y a ouverts. Car le bâtiment constritue une activité traditionnelles pour les gens de ce rude pays de dreuse: quand vient la belle saison, la pauvreté les contraint à délaisser fermes et moissons, qu'ils retrouveront aux approches de l'hiver.
Cet exil, déjà cruel en son principe, est fort dur à vivre, on ne trouve pas toujours à louer ses bras, le travail sur les échafaudages est dangereux, la compétition sévère. Et les voyages ne sont pas sûrs: ainsi, à son retour. |
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Affiner la recherche Interroger des sources externesJack London., 4. Romans et récits autobiographiques / Jack London
